by étoilé » 16 Oct 2023, 17:07
Ma sœur avait 22 ans, j'en avais 19. Elle et son petit ami se sont enfuis, elle a beaucoup souffert. Un jour, je l'ai calmée. elle enfouit son nez dans ma poitrine : Frère, c'est bien que je t'aie. Je lui ai caressé le dos, je l'ai serrée dans mes bras, elle a levé la tête et m'a regardé, je me suis penché et je l'ai embrassée sur les lèvres. Au début c'était fraternel, et quand elle m'a rendu son baiser, j'étais bouleversée, ils se sont allongés soigneusement sur le canapé, elle semblait ne rien faire, elle a fermé les yeux, et j'ai déboutonné mon peignoir, libéré mes seins de mon soutien-gorge , mes mains sur tout mon corps. Je murmure, tu es si gentil, et elle : Frère, s'il te plaît... Oui, oui, je réponds... il y a déjà un peignoir par terre, une culotte, un peu de résistance, mais sa respiration la trahit, je m'écarte ses jambes et... on s'envole avec elle, du moins, j'en suis sûr. Il y a eu une certaine gêne, oui, un peu plus tard. Puis il lui dit : je ne demanderai pas pardon, j’ai passé un très bon moment et j’en voudrais encore. J'ai lâché et je l'ai regardée dans les yeux. Sa réponse m'a inspiré : qui vous a dit que j'étais offensé ? Je dis :
N. vous êtes le meilleur...!!!
Ma sœur avait 22 ans, j'en avais 19. Elle et son petit ami se sont enfuis, elle a beaucoup souffert. Un jour, je l'ai calmée. elle enfouit son nez dans ma poitrine : Frère, c'est bien que je t'aie. Je lui ai caressé le dos, je l'ai serrée dans mes bras, elle a levé la tête et m'a regardé, je me suis penché et je l'ai embrassée sur les lèvres. Au début c'était fraternel, et quand elle m'a rendu son baiser, j'étais bouleversée, ils se sont allongés soigneusement sur le canapé, elle semblait ne rien faire, elle a fermé les yeux, et j'ai déboutonné mon peignoir, libéré mes seins de mon soutien-gorge , mes mains sur tout mon corps. Je murmure, tu es si gentil, et elle : Frère, s'il te plaît... Oui, oui, je réponds... il y a déjà un peignoir par terre, une culotte, un peu de résistance, mais sa respiration la trahit, je m'écarte ses jambes et... on s'envole avec elle, du moins, j'en suis sûr. Il y a eu une certaine gêne, oui, un peu plus tard. Puis il lui dit : je ne demanderai pas pardon, j’ai passé un très bon moment et j’en voudrais encore. J'ai lâché et je l'ai regardée dans les yeux. Sa réponse m'a inspiré : qui vous a dit que j'étais offensé ? Je dis :
N. vous êtes le meilleur...!!!